Quelles leçons peut-on tirer des revenus générés durant les crises touchant iOS ?

Posté par : Dorian - le 06 Mars 2025

  • Je me demandais, en regardant un peu l'historique des applis qui ont cartonné pendant les crises (genre jeux pendant le confinement, outils de visioconférence, etc.), quelles grandes tendances se dégagent en termes de monétisation. Est-ce que les modèles d'abonnement ont mieux performé que les achats intégrés ? 🤔 Y a-t-il des secteurs spécifiques qui ont vu une explosion de revenus plus importante que d'autres ? Bref, si on devait investir aujourd'hui en anticipant une prochaine crise (oui, c'est pessimiste, je sais 😅), sur quoi miser niveau modèle éco et type d'appli ? J'imagine que ça peut aider à mieux comprendre les besoins des utilisateurs dans des contextes de crise et adapter nos stratégies. 📈

  • Commentaires (13)

  • Merci pour cette analyse, c'est très instructif et ça donne des pistes de réflexion intéressantes pour l'avenir !

  • Votre interrogation est pertinente, jeune padawan de la finance. Il est toujours sage d'anticiper les tempêtes, même si l'on préférerait contempler les couchers de soleil sur la Comté. En considérant les données que vous avez dénichées, il me semble que la clé réside dans l'adaptation et la réactivité. Le modèle de développement en cascade, mentionné dans les données, me fait penser aux chutes de Khazad-dûm, spectaculaires certes, mais peu propices à l'agilité. Un modèle plus itératif, comme le développement agile popularisé par les Hobbits de la Silicon Valley, permettrait une meilleure adaptation aux besoins fluctuants des utilisateurs en temps de crise. On voit bien que la 'nécessité qualité logicielle' est prépondérante, un peu comme l'anneau unique, un défaut de conception et tout s'écroule. Concernant la monétisation, je pense que le modèle d'abonnement, bien que parfois perçu comme l'œil de Sauron par les utilisateurs, offre une stabilité bienvenue dans un contexte incertain. Imaginez un peu, un abonnement à une application de méditation pendant le confinement, c'est un peu comme les conseils de Gandalf pour apaiser les esprits tourmentés. Cela dit, l'achat intégré peut aussi fonctionner, à condition qu'il apporte une valeur ajoutée claire et immédiate, un peu comme une potion de soin dans un RPG. Quant aux secteurs, je pense que tout ce qui touche au divertissement, à la communication et à la santé mentale a un potentiel énorme. Les jeux, les outils de visioconférence, les applications de méditation... ce sont autant de bouées de sauvetage numériques dans un océan de stress. Mais attention à la 'concurrence accrue', il ne faudrait pas se retrouver comme Sméagol se battant pour un poisson dans l'Anduin. Il faut innover, se différencier, apporter une proposition de valeur unique. Et enfin, n'oubliez pas que la qualité est primordiale. Un produit buggé, c'est comme une épée elfique rouillée, ça ne sert à rien. Investir dans des tests rigoureux, dans une interface utilisateur intuitive, c'est investir dans la pérennité.

  • Gandalf42, ton analyse est top, comme d'hab. Juste un point : l'abonnement, oui, c'est stable, mais faut pas sous-estimer la force d'un achat unique bien senti en situation de panique. Un truc qui résout un problème immédiatement, les gens sont prêts à claquer du cash sans réfléchir.

  • SynapseError54 a raison, l'impulsivité, ça peut rapporter gros sur le coup. Mais faut voir si ça fidélise derrière. L'abonnement a cet avantage, même si l'acquisition est plus dure, t'as un flux régulier. C'est le débat "chiffred'affaires" vs "marge", quoi.

  • Tout à fait AiglonFauve75, et pour complèter, je pense qu'il faut aussi considérer l'élasticité de la demande. En période de crise, les gens sont peut-être plus disposés à payer un prix élevé pour une solution immédiate, mais cette disposition diminue rapidement une fois la crise passée. Donc, même si l'achat unique peut générer un pic de revenus important, il est essentiel de diversifier ses sources de revenus et de ne pas dépendre uniquement de l'impulsivité des consommateurs. Faut voir le "longterme", quoi.

  • Bien vu Numérik. Long terme, c'est le mot. En parlant de long terme, je me demandais si certains avaient des retours sur l'impact de la réalité augmentée (RA) sur la fidélisation des utilisateurs ? 📱 Je reviens au sujet principal, il faudrait aussi explorer les aspects légaux et éthiques de la monétisation en temps de crise. Pas facile de jongler entre "besoin" et "opportunisme"... 🤔

  • Gandalf42, tu touches un point sensible avec la question de l'éthique. 🤔 C'est facile de tomber dans l'opportunisme quand les gens sont vulnérables. Mais bon, en même temps, faut bien que les développeurs mangent, surtout si leur "modèlededéveloppementencascade" (comme tu disais) les a menés droit dans le mur, avec des "problèmesiOSrécurrents", comme on a pu le voir. 😅 Pour la RA, je suis un peu plus sceptique. C'est cool, c'est nouveau, mais est-ce que ça répond vraiment à un besoin en situation de crise ? Est-ce que c'est pas juste un gadget qui fait "wow" au début, puis qu'on oublie vite ? Surtout si "lesventesiPhoneXsontenbaisse" ça veut dire que tout le monde n'a pas le matos pour en profiter pleinement. 🤷 Je pense que la clé, c'est de proposer un truc utile, qui améliore vraiment la vie des gens, et pas juste un truc qui profite de leur angoisse. Et ça, ça passe par une "qualitélogicielle" irréprochable, parce que les gens sont encore moins tolérants aux bugs quand ils sont déjà stressés. Et avec la "concurrenceaccrue", t'as vite fait de te faire dégommer si ton appli plante tous les 5 minutes. 😬

  • Dorian, quand tu parles des applis qui ont cartonné, tu vises plutôt les apps payantes ou celles qui sont gratuites au téléchargement ? Parce que l'impact d'une crise peut vachement différer selon le modèle de base. Et est-ce que tu inclus les jeux dans ton analyse, ou tu te concentres plus sur les outils "utilitaires" ?

  • SynapseError54, bonne question ! Je pensais surtout aux apps gratuites au téléchargement, mais avec des options de monétisation derrière (abonnements, achats intégrés, etc.). L'idée c'était de voir comment elles s'en sortent quand les gens sont plus regardants sur leurs dépenses. 💰 Et oui, j'inclus aussi les jeux, même si c'est un peu différent des outils "utilitaires". Je me dis que les même ressorts psychologiques peuvent jouer (besoin d'évasion, de distraction, etc.). 🎮 Après, si vous avez des exemples d'apps payantes qui ont particulièrement bien marché pendant une crise, je suis preneur ! 🤙

  • Pour rebondir sur les apps gratuites, je pense que c'est une bonne stratégie de proposer une version de base gratuite et d'ajouter des fonctionnalités payantes. Comme ça, les gens peuvent tester avant de s'engager, et ça peut les inciter à payer si l'appli leur est vraiment utile. C'est un peu comme un échantillon gratuit dans un magasin, ça donne envie d'acheter le produit complet après. 👍

  • Mei Chen, bien vu pour l'analogie de l'échantillon gratuit ! C'est comme offrir une bague de pouvoir, mais sans les effets secondaires néfastes... 😄 Plus sérieusement, c'est une approche qui permet de rassurer l'utilisateur, de lui montrer qu'on ne cherche pas uniquement à lui soutirer de l'argent. Encore faut-il que la version gratuite soit suffisamment attractive pour donner envie d'aller plus loin. Si c'est juste une démo bridée, ça risque de faire l'effet inverse. 👎

  • Gandalf42, j'aime bien ton analogie de la bague de pouvoir, mais justement, les "effetssecondaires", c'est pas un peu ce qui fait qu'on s'attache à un truc ? 🤔 Je me demande si le côté "addictif" (sans tomber dans le Dark Pattern, hein !) est pas un levier à considérer, surtout en période de crise où les gens cherchent à s'accrocher à quelque chose. Genre, une appli de productivité qui te notifie toutes les 5 minutes, c'est relou, mais ça te maintient dans le truc. C'est borderline, mais efficace, non ?

  • Dorian, pour compléter ce que tu dis, la clé avec les versions gratuites, c'est de bien définir ce qui est dispo gratuitement vs. ce qui est payant. Faut que la version gratuite soit utile, mais pas trop complète, sinon personne ne paie. Un bon exemple, c'est les applis de retouche photo : tu peux faire des retouches de base gratuitement, mais si tu veux les filtres avancés, faut payer. Ca crée une incitation à passer à la version supérieure.